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Les chansons du moment, inspirées (très logiquement, non ?) par le mot sexy :




* I know what boys like, des Waitresses, merci le MySpace du Bda


 

* Would You ?, de Touch & Go,  incarnation de mon article


* Sexyback, de Justin Timberlake, d'une parce qu'il l'est, de deux parce que... Bercyyyyyy !


 

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Mémoire d'une surveillante

Toutes sortes de phrases incongrues, insensées ou mignonnes que j'ai pu entendre au travail (ah j'adore écrire ça !).

Vendredi, 17h15, fin des retenues, j'étais heureuse quand une fille engage la conversation avec deux garçons :

"Oh tu vas voir Marylin Manson ? La chance, j'avais trop envie"

"Mais euh tu sais, c'est un peu dangereux pour les filles... T'es écrasée, ton soutien-gorge tient pas le coup, enfin c'était comme ça pour Korn"

"Non mais je sais, moi je tiens le coup, c'était comme ça pour Sean Paul"

1) Marylin Manson. Ils ont à peine 15 ans. Moi il me fait encore cauchemarder !
2) Le si chic détail de lingerie
3) Sean Paul. Cf. le 1. L'aspect morbide étant remplacé par un côté vulgaire.

Brrrrr !
13 mars 2005 7 13 /03 /mars /2005 00:00

Et maintenant… une fille culte… Tout ce qu’elle fait mériterait un article, elle est drôle, vraiment très drôle, attentive, passionnée, je pourrais passer ma vie avec elle (et un frigo) je crois.

Petite présentation :

Léa a 18 ans (et ouiiiii depuis jeudi 3 février), elle habite juste à côté de chez moi, Rue du Franprix en fait. Léa est une fausse blonde, non que dis-je, une fausse "Rhum-Café", puisque c'est le nom du produit miracle. Si on devait la résumer à une partie de son organisme, ce serait sans hésiter son ventre. S'il y a bien une vision dont je ne me lasserai jamais, c'est Léa en train de manger. Je pressens vos regards perplexes : quoi ? cette fille d'une minceur incroyable ne vit que pour la nourriture ? Et bien… oui. Simplement, pas chez elle (d'où un syllogisme dont elle se délectera sans doute : Léa ne vit pas, chez elle, ha ha ha ). Faut voir aussi son frigo : yaourt au soja… lait de soja… compote de rhubarbe sans sucre… Quoique non, suis mauvaise langue, on peut trouver des gâteaux merveilleux aussi parfois.


Donc parfois, pour la taquiner, je lui rétorque : "Léa, tu n'es qu'une ventre".

Petits exemples : après une dure journée, son regard s'illumine quand vous marmonnez "doit y avoir des glaces à la maison". Ou encore, il vous reste un paquet de biscuits à finir, vous pouvez compter sur elle. Je pourrais passer des heures à la regarder manger, c'est comme si aucun plaisir n'arrivait à la cheville de n'importe quel aliment. Néanmoins, faites attention : si vous achetez un paquet de Pim's à partager, servez-vous avant de lui confier, ou bien abandonnez l'idée d'en manger (oui, je t'en veux toujours, 7 Pim's à toi toute seule quand même !). En fait, Léa, c'est un peu notre Joey à nous ! Sauf question drague (et poils, et poids, et talent de comédien).

 

Comment nous sommes nous rencontrées ?

Inédit… le théâtre !!! En 6è, Léa jouait… mon mari ! Si c'est pas un beau début tout ça. En fait la 1è année nous n'étions pas très proches, ni la seconde à vrai dire. On s'entendait bien, sans plus. Quoique pour les Rustres, j'ai perdu mes boucles d'oreilles sur scène, heureusement qu'elle était là pour m'aider, faut dire qu'on avait une belle scène de plantes vertes ensemble aussi. Bref, je m'égare (faut que je retrouve des photos de la robe rideau aussi tiens…).

Nous voici en 4è, et là pour ainsi dire on ne se parle pas au théâtre, car je suis très proche (grande complicité alors) avec l'ex-meilleure amie de Léa. Heureusement, qu'est-ce qui arrive à la fin de l'année ? Le voyage en Angleterre ! Je ne savais même pas qu'elle était inscrite, et à la gare, bonne surprise !

Je bénis vraiment ce séjour. J'y ai appris, beaucoup, beaucoup sur… la vie ! C'est comme si j'étais une autre partie de moi-même, et en 14 ans c'est la première fois que ça m'arrivait. Et que de matière à fous rires avec Léa. On n'a jamais essayé autant de vêtements laids qu'en Angleterre, sauf cette fameuse robe chez H&M qui te rendait divine alors qu'elle m'allait comme un sac. Entre G*** le singe, les chips au vinaigre, les séances de ping-pong du style "jouons pendant 10 min puis allons se décrire nos désastreuses familles pendant 1h", j'ai passé de très, très bonnes vacances. Mais à la rentrée, je ne suis restée liée qu'à une seule personne du groupe, bien que nous soyons tous dans la même école. Léa donc. Alors, pourquoi elle ??? (et là ma ptite, je t'imagine toute contente car tu sais qu'une liste de compliments va suivre, ha ha ha).

  • elle est très, très drôle, rien à redire là-dessus. Certes tout le monde n'est pas sensible à son humour, mais moi si, sa façon de commenter est irrésistible, ses jeux de mots ratés assumés pleinement, bref je suis fan !
  • beaucoup de matières à divaguer… En effet, vous n'êtes pas sans ignorer que j'ai connu mes premiers réels émois amoureux en 2002 (et si vous ne le saviez pas… c'est fait :D). Et qui a deviné l'attrait que j'exerçais sur le jeune homme en question avant toutes ? Léa !!!! Qui a trouvé le meilleur surnom possible pour monsieur après qu'il m'a lâchement largué ? E… le Tainted. Tainted car à cette même période, Marylin Manson chantait (hum) Tainted Love. Et que j'étais très sensible au frère de Léa, qui écoutait MM. Bref, Mathieu, si tu fouilles dans l'historique de votre navigateur et tombe sur ces lignes, sache que je t'admirais il y a 3 ans…

Cet été là, qui fut d'un ennui profond pour nous deux, nous avons fait explosé notre forfait de sms, et ils étaient divins ces messages.

Petite anecdote que seule Léa comprendra : un après-midi d'août, j'étais chez toi, on avait fini de manger une glace je pense… et j'ai reçu un sms, que dis-je, LE sms ! Quelques lignes mythiques, symbole de… de tout. Un des plus gros fous rires de ma vie je crois.


 

A la rentrée en seconde, nous ne sommes pas ensemble, mais c'est tout comme. Au théâtre rien à redire, on joue très souvent ensemble, et ça se passe à merveille. En décembre, je reçois un sms que j'ai toujours dans mon portable, pour m'annoncer la naissance d'Hugo, son demi-frère. Alors, pourquoi ce fétichisme du texto ? Il représente une grande part de notre amitié à mes yeux. Au début, si nous nous sommes tant rapprochées, c'est à cause de nos familles recomposées. Et penser tout de suite à moi, ça me prouve que je suis importante dans ce domaine, que j'ai réussi à l'écouter, la conseiller, comme elle a su le faire avec moi. Quand je lis ce message, j'ai toutes ces longues conversations en tête, moments où on essayait de comprendre à 2 notre entourage. Ce bébé est très symbolique dans la vie de Léa, mais aussi dans la mienne. En définitive, c'est sans doute à Léa que j'ai le plus parlé de mes problèmes maternels, et grâce à ce quelques lignes de Bouygues j'ai ressenti qu'elle percevait cette facette de notre relation, même dans l'enthousiasme d'une réunion de famille pour Noël.

Autre évènement de la classe de troisième : le voyage à Caen. D'une nullité inégalable, mais cultissime. On a pris une photo parfaite sur Omaha Beach, mangé des caramels fait par M. MOI, caché des gâteaux sous un lit… très très nous tout ça ! Le voyage en Espagne aussi retrace bien cette folie à deux, mais j'ai une petite tendresse pour la Normandie, peut-être à cause de la fabrique de caramels…


Fin 2003, j'apprends qu'elle part en L, très dur à encaisser. Parce que ça veut dire qu'elle part dans le lycée que je déteste le plus au monde, celui qui m'a enlevé mon plus que meilleur ami. Mais finalement, rien ne s'est reproduit avec toi, tu es restée aussi folle qu'avant.

 

En bilan, qu'est-ce que j'aime te voir ! Même quand tu râles, parce que j'adore ta relative mauvaise foi. Même quand tu critiques mes exs, parce qu'au fond tu as raison, je peux faire un concours de "minabilité". Même quand tu me parles de la L, ça me rend malade de jalousie, mais je suis maso, que veux-tu. Même quand tu n'as plus de forfait, ça me laisse plus de temps pour écrire mes sms de commentaire sur le prime de la Star Ac. Même quand tu me demandes de ramener Télé 7 Jours au théâtre, parce que tu as la gentillesse de laisser Gala chez moi.

En un mot : on aime Philippe Lejeune, on aime le Tainted, on aime Pink en concert sur MCM les week-ends de forfait Millenium. Et surtout, on adoreeeeeeee Simple Life, ça symbolise notre vie de télévore… Ma LilouLilette, change pas sans moi, c'est tout ce que je peux dire.


(dois-je préciser que c'était au théâtre ?)

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6 mars 2005 7 06 /03 /mars /2005 00:00
Je m'étale pas mal sur ce séjour, un album photos, 2 articles...

Mais ici il s'agit de montrer toutes les personnes que j'ai pu croiser pendant ces 12 jours. Qu'ils soient Français ou Egyptiens, rien à jeter, bien au contraire. Et bon vais aussi en profiter pour exposer ma frimousse, car d'un suis égocentrique, c'est connu de tous, et de deux, va encore y avoir des plaintes si je ne m'exécute pas (si vous vous sentez viser, manifestez-vous !).

Le groupe du Nil : une famille adorable, merci pour votre gentillesse, votre élégance aussi.
Nous avons donc, de gauche à droite : Sophie, la dame au sac à dos magique (elle a toujours tout, des médicamments, de l'eau, du brumisateur, un parapluie-ombrelle), Mohammed notre vénéré guide, Lucas, 5ans trois-quart et très mignon, Alain, son père (merci pour toutes les blagues), Lucie, sa fille, timide mais toute comme moi à son âge, Brigitte leur maman, gentille et fine, Laetitia, un rayon de soleil, toujours enchantée par tout, ah tiens moi, et ma mère (grande première sur le blog en fait).

On enchaîne avec moi-même à l'aéroport, Maman tu es la reine de la photo naturelle, rien à redire, le côté "regard déjà tourné vers l'Orient" n'a rien de commandé...



Quand je parlais de "je n'aime pas mon statut de touristes", la calèche est un parfait exemple. Sourire forcé en puissance :


Alors que fait-on sur un bateau qui vogue et qu'on s'est levée à 5h pour visiter le temple de Karnak ? On lit sur le pont... à l'abri du soleil, merci les gênes !



Puis on s'en va genre "j'ai fait des croisières toute ma vie, ce bateau est le mien" :


Revoici notre famille modèle, photo assez représentative je trouve, c'était le soir où Alain et moi nous sommes auto-proclamés Couple Tarte. En effet, notre cher accompagnateur nous assure que c'est une soirée locale, il faut absolument être déguisé. Bon on s'exécute... Résultat, arrivés à table, qui était le seul groupe en djellabas ? Je vous laisse deviner... En plus, c'était déjà arrivé le 2è soir, mais comme nous étions les seuls Français, nous étions passés pour des originaux aux yeux des Allemands ; sans oublier les Grecs, une magnifique momie en papier-toilettes a attiré pas mal de regards.
N'empêche qu'à la fin, on a inspiré tout le bateau, y compris des Américaines, qui ont profité de l'occasion pour nous sortir des soutiens-gorges pailletés assez innomables.


La famille R***


Juste pour dire... vive les contrastes...

Par la suite, me suis contentée du blanc, couleur qui a résisté à toutes les intempéries :




Ou encore Sarah fait de l'humanitaire dixit Claire



Mais aussi en version guide, genre j'ai fait 7 ans d'Egyptologie alors on me laisse faire :


Par contre, à dos de dromadaire, une petite touche suffit (on appréciera au apssage le flou artistique de ces clichés, qui révèle surtout mon incapacité à retoucher correctement) :




(au passage : petite dédicace à Manon = Converses Olives !)







Voici donc une habile transition vers la collection kaki, certes à la mode il y a quelques années, mais suffit d'y mettre une touche ethnique pour rester tendance :


Façon nous mourrons de fatigue devant le Musée Nubien. En effet, ce fut une journée chargée : réveil à 5h, visite à 6h du temple de Kom Ombo, puis à 13h, on part pour une promenade en fellouque, suivi de la visite de l'Obélisque Inachevé, le haut-barrage d'Assouan, le temple de Philae, une fabrique de Papyrus, un magasin de poteries, et enfin le musée Nubien. Le tout sous 40°...


Attention, je revendique haut et fort ma star attitude ratée sur les photos suivantes, oui je ne suis qu'une pauvre ado blasée, pfff :



Et surtout :




Après ceci, je suis obligée de présenter de nouvelles têtes :


Voici Nevin, notre guide à Alexandrie, que je remercie du fond du coeur pour sa douceur et ses cachets pour la gorge :).


Notre troupe après une dure journée


Yasmine, qui nous a accompagnées au Caire, une guide fantastique et attentionnée

Un petit hommage à ma mère, parce que malgré tout (comprendre la lourdeur de ce tout), elle reste ma maman :


(avec le Shah d'Iran derrière :D)


Devant ... bon vous savez A l'entrée du Musée du Caire



Puisque je suis dans la mouvance hommage, un clin d'oeil au Shah d'Iran, suis la seule de la famille à ne pas avoir mis les pieds en terre natale mais au final, j'ai vu la tombe de celui par qui tout est arrivé (sans la Révolution je ne serai pas née, faut pas l'oublier...) :


Mosquée de la famille royale, Le Caire

Jolie image pour conclure cet article-fleuve, presque un roman photos, qu'est-ce que je m'amuse avec ce jouet qu'est mon blog :)


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3 mars 2005 4 03 /03 /mars /2005 00:00


Comme beaucoup le savent, je suis revenue hier soir de 12 jours passés en Egypte. Voyage plein de surprises, je n'avais jamais autant alterné entre autant d'émotions : bouleversée, impressionnée, effrayée, bouche-bée... Il ne s'agit pas de lister des épithètes en [é], mais plutôt d'exprimer mes ressentis face aux contrastes incessants qu'offre ce pays.
Certes ça sonne très cliché dit ainsi, on peut trouver des paradoxes n'importe où, et il est très facile de le prouver dans un pays anciennement glorieux comme l'Egypte. Mais si je parle de terre des différences, ce n'est pas uniquement pour le parallèle "Grandeur des Pharaons/Misère des périphéries modernes". On est frappé par des disparités mêmes légères :

* la presque canicule extérieure / la clim dans les refuges pour touristes (les bâteaux...)
=>>> un rhume et plus sous 37°



* l'Islam partout présent, surtout au niveau du voile / le comportement des hommes envers les Européennes, sans cesse dévorées des yeux, voire plus... A croire que pour eux, si on ne porte pas de voile, on n'est que des s*** sans morale.

* Nous, les touristes sur-protégés dans nos bateaux 5 étoiles / les enfants qui nous courrent après pour mendier. Je suis bouleversée à tout jamais par ces gamins qui s'accrochaient à notre calèche en réclamant des £. Une telle violence émane d'eux pour réclamer ce qui nous paraît naturel... Jamais je ne m'étais sentie à la fois coupable et impuissante à ce point.

* L'agressivité naturelle des souks / ma peur honteusee. Oui ici c'est très personnel, j'ai une peur panique des souks. Les vendeurs vous sautent dessus, on ne peut pas faire 3 pas sans entendre des annonces pas très alléchantes. Et même s'il m'est extrêmement pénible de me faire traiter de gazelle valant 10 chameaux et 7 statutes de Néfertiti en plastique violet, je ne peux m'empêcher de regretter ce sentiment. Parce que ce n'est pas méchant, c'est une autre culture, et zut, faut bien ouvrir son esprit de Saint-Mandéenne parfois ! Donc je me suis sentie assez perdue. Choquée par tant d'agressivité et coupable de ce choc. Comme si je ne savais pas m'adapter...



* Bien entendu : hier / aujourd'hui. Ce pays ne vit presque que sur son passé. Les pharaons, la dynastie de Mohamed Ali, l'occupation anglaise, le fantôme de Nasser... Peu d'évènements sont tournés vers l'avenir. D'ailleurs regardez leur président : Moubarak est au pouvoir depuis plus de 20 ans, et aucun adversaire ne se présente aux élections de mai... Toutefois, tout est si splendide que je comprends cette espèce de fatalisme latent qui ne les pousse pas vers demain. Après tout, peut-être les Egyptiens ont-ils raison de ne plus croire à leur apogée. Quand je pense que c'est ce qui nous guette...

Sur ce, mes coups de coeur :

Le temple d'Edfou, consacré à Horus. Il est si peu abîmé. On se sent tout petit à côté !

Les reliefs sont incroyables de précision, regardez ce ventre, ce bassin :



Mais hélas aujourd'hui les trous dans la roche font le bonheur des oiseaux, ce qui n'est pas pour conserver les murs...






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25 janvier 2005 2 25 /01 /janvier /2005 00:00



Grand honneur… Voici ma chouchoute depuis le CM2 ! Bien qu’on se soit rencontré un an auparavant, il faut bien admettre que c’est cette dernière année de primaire qui a tout scellé. Une année mémorable (n’oublie pas ça d’ailleurs : j’avais raison !!!), assez indescriptible. On s’est beaucoup beaucoup amusé, sans cesse. Une très grande complicité je crois ;-). Et dans notre lancée on a inventé un jeu fantastique mais qui reste secret… à base de surnoms… j’en glisse 2-3 au passages : la mare aux canards, la lime, le lutin, le p*-p*** (langage fleuri à 10 ans, et oui !). Bon malgré tout, Marie attirait à peu près tous les garçons du CM2B, alors aujourd’hui je peux te l’avouer : ce n’était pas toujours agréable de recevoir leur demande sans jamais entendre aucun mot doux me concernant :’-(…





Puis on passe deux années Mme Fauconnier plutôt chouettes, marquées par de régulières pauses potins (quoiqu’on a souvent été nulles pour en dégotter). La décurie de Rome reste mythique, de bout en bout ! à peine ridicules par moment… mais aussi très favorisés ;-p. Ah oui et une anecdote marrante dont je me souviens. C’est en 2000 qu’on va pour la 1ère fois au cinéma seules, pour Scream 3, ta cousine Adèle est là aussi… On était toutes fières d’ailleurs.

Sinon, on commence le théâtre en 6è, et voici une image prise dans les coulisses l'année dernière, du genre "on se magne faut que je me change, démaquille, remaquille et cours derrière puisque Guy a eu à nouveau une idée foireuse pour mon entrée" :

Aïe la suite, tu ne vas pas bien du tout, ne me dis rien, j’apprends par les autres. Bref, on s’éloigne. Heureusement (ellipse efficace…), on ne s’oublie pas, et ce en grande partie grâce au théâtre ! Et aujourd’hui, tu as trouvé le plus parfait des petits amis, tu es là où je rêve d’étudier (comprendre la L), et tu me parais plus belle et parfaite que jamais.

Quant à la Cerisaie, tu ne peux pas savoir à quel point je suis contente des rôles cette année. D'accord la pièce n'est pas très attractive (c'est de l'arnaque on peut le dire), mais en même temps, je suis très, très émue de jouer ta fille et la soeur de Léa (prochaine VIP ;-), encore une transition exquise, lol). Non pas que je te considère comme une personne maternelle avec moi, mais j'ai besoin de ressentir des liens quasi-familiaux avec toi. En plus on s'amuse bien à faire les plantes vertes sur des discours communistes, faut se l'avouer. Sans oublier le grand suspens qui suit chaque cours : va-t-on croiser notre idole le fils du boucher ! Une légende du BMX des courses maternelles ! Le fils du boucher, c'est, comment dire, toute la symbolique du repas saint-mandéen... C'est physique, c'est instinctif et à la fois si rempli de souvenirs !


Tu sais aussi combien je suis attachée au passé, combien j'ai besoin de voir que tout ne change pas. Et en cela tu m'es indispensable. Je sais parfaitement que quoiqu'il arrive, il y aura toujours un portable allumé pour moi, qu'en n'importe quelles circonstances tu seras là, comme avant, comme toujours !

En conclusion… j’adore passer du temps avec toi, bien que ce ne soit pas très fréquent L, sauf pendant les vacances vu qu'il reste en général deux paumés à Saint-Mandé (comprendre nous) . Tu as toujours été fidèle, malgré les obstacles (comment ça je vise quelqu’un ?), rien que pour ça je te crie : je t’aimeeeeuhhhhhh !!!

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17 janvier 2005 1 17 /01 /janvier /2005 00:00

 

Un petit hommage à mon lycée... Parce que même si j'y vis des instants difficiles, je lui dois beaucoup. J'y ai grandi, appris une foule de choses, rencontré beaucoup d'amis. C'est un peu bateau dit comme ça, mais ça va sincèrement me faire toute drôle de ne plus venir là tous les matins dans 6 mois.

Enfin, avant de présenter tout le petit monde qui y gravite, une petite photo de départ (© Claire)

 

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17 janvier 2005 1 17 /01 /janvier /2005 00:00

Pour ne fâcher personne (attention, futur IEP branche diplomatie, lol), je procède par ordre chronologique.

Ainsi, Pauline. Rencontre en CP. En classe de poney, elle a une Barbie américaine qui a déjà un maillot de bain dessiné sur le corps (ça m'a resté en travers de la gorge d'ailleurs, lol). Un soir elle s'amuse à renverser sa banane au chocolat sur mon beau jogging rouge. S'en suivent 4 années de séparation. Puis, rentrée du CM2, Pauline rejoint le groupe des classes doubles (les plus matures, hi hi), et devient ma voisine pour quelques mois. Elle en garde de très bons souvenirs, comme mes doigts gelés plaqués sur son innocente nuque, lol.

Par la suite, de nombreux nombreux souvenirs. La 6è, fantastique, nous découvrons le français, chacune à sa façon dirons-nous. La 5è, mythique, que des profs inoubliables. Et le voyage à Rome !!! (cf la section voyage, d'ici... hum... 4 mois !).

Retrouvailles en 3è, on n'est pas dans la même classe, mais l'aumônerie nous rapproche. Ah la 3è, entre les 19 systématiques en DST de maths, "Le Feu", un livre inoubliable, et nos vies amoureuse qui naissent ! Un seul mot à ce propos : Disney !

 

Le brevet... une rigolade, on peut le dire, on y va alors qu'on l'a déjà... et au final on récolte plus de points que tous.

 

La 203 ! mon Dieu ! le grand saut... je crois que c'est l'année où l'on a le plus partagé, disons qu'elle a été un soutien permanent. Heureusement, tout ceci se voit couronné par 3 semaines de folie en Irlande. Je n'ai jamais aussi mal mangé, passé autant d'heures dans un car (le trajet aller, on est tombé sur les sièges cassés...), dormi aussi peu. Quoique j'avais tendance à m'endormir très vite le soir... Détails dans le chapitre voyages ;). Bref, beaucoup de bons moments passés ensemble.

 

Arrive la 1S, et là, beaucoup de fous rires aussi, la physique marque la continuité de la MPI, le chevelu fou est de retour (mon prof...).

 

Malheureusement, nous n'avons plus aucun cours ensemble cette année, alors c'est moins facile de se voir. N'empêche qu'on se débrouille comme on peut ;)...

 

Ah oui et ici une photo datant de l'année dernière, pour l’anniversaire des jumeaux.

En fait Pauline est bien plus qu'une élève brillante et juste. C'est un modèle d'équilibre. Modèle car elle n'est ni excessive ni modérée, mais elle a aussi ses petits moments de faiblesse, qu'elle assume tout simplement. Toujours tendre, elle a toujours été à mon écoute.

Pauline est droite, c'est fantastique de connaître une personne aussi stable. Ca rassure tellement...

Ce qui ne l'empêche pas d'être amusante, d'adorer la fête, de passer des soirées devant des films de filles, un pot d'Haagen Dazz pour deux à la main... une fille cool en bref !

Et puis j'adore quand elle parle d'elle, ses déceptions, petits complexes et agacements. Toujours avec pudeur, et pourtant ça veut tout dire. On arrive à bien se comprendre, sans avoir vécu exactement les mêmes choses.

Voilà Pauline, tu es l'une des personnes qui me connaît le mieux, surtout au niveau de mes relations avec ma mère. Alors merci d'être éternellement à l'écoute, merci pour l'Irlande (les soirs de déchéance à écrire nos cartes à côtés des machines à laver quand même !)... pour les soirées avec Amélie et Marie...

Et voilà une superbe transition...



Because we are so young, yeah, yeah, yeah, yeah...

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17 janvier 2005 1 17 /01 /janvier /2005 00:00

On va tout simplement commencer avec mes meilleures amies... que voici réunies pour mon 17è anniversaire...

Alors de gauche à droite : Yaëlle, Marie-Axelle, Pauline, Imène, Léa, ..., Claire et Delphine, Lise étant la grande absente de la soirée, c'est une animatrice sérieuse pour ses petits protégés. Je me dois tout de même d'aborder celles en bleu d'abord...

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